
La Poste Suisse, une société anonyme de droit public, permet désormais aux clients d’être servis en arabe, turc, albanais et serbo-croate dans plusieurs offices, dont celle de Renens. Une décision totalement inacceptable qui remet en cause les principes mêmes de l’intégration et affaiblit notre identité nationale.
📌 Rappel : la Suisse a 4 langues nationales – et c’est tout !
📌 L’intégration, c’est aux étrangers de la faire, pas à nous de nous plier à eux.
📌 Encourager les communautés étrangères à ne pas apprendre une langue nationale, c’est un échec total de l’intégration et un danger pour notre cohésion nationale.
Ce projet n’est pas anodin. Il institutionnalise un modèle de société où les Suisses doivent s’adapter aux étrangers au lieu de l’inverse. C’est exactement ce qu’il faut éviter pour préserver notre culture, nos valeurs et notre unité nationale.
La Poste Suisse, financée par l’argent des contribuables, n’a aucune légitimité à promouvoir une telle dérive multiculturelle. Son rôle est de servir la population suisse dans les langues nationales du pays, pas de créer un service sur mesure pour des communautés étrangères qui refusent de s’intégrer.
Je dénonce cette dérive. Je suis convaincu que la Confédération prendra note de cette décision très problématique et réagira. Il est impensable que l’État tolère cela sans réagir.
Nous ne devons pas accepter une Suisse où il faut parler turc ou arabe à nos propres guichets ! Il est temps que la Confédération assume ses responsabilités et mette fin à ce projet honteux.
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Enzo Malorgio
Membre du Comité directeur des Jeunes UDC Suisse
Co-rédacteur en chef du journal "L'IDEE" des Jeunes UDC Suisse pour la Romandie
Secrétaire général des Jeunes UDC Vaud
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